L'AMOUR EN AMÉRIQUE DU SUD Histoire ethnologie colonialisme MAX DAIREAUX 1930 EO

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Max Daireaux nació en Buenos Aires el 18 de julio de 1883, hijo del abogado y escritor francés Emilio Daireaux y de doña Amalia Molina Regueira, argentina, de tradicional familia porteña. Habiendo realizado sus estudios en Buenos Aires, en 1902 se trasladó con sus padres y sus hermanas a París , donde completó sus formación graduándose en la Escuela Superior de Minas de París con el título de Ingeniero. Sin embargo desde joven se dedicó de lleno a su vocación literaria publicando en 1906 un primer libro de poemas, Les Penitens Noirs.

Primera etapa literaria en Francia

Sus inquietudes literarias llevaron a Max, junto a un grupo de jóvenes escritores y artistas (Pierre Parent, Marcel Plantevignes, Reynaldo Hahn ) a establecer una estrecha relación social y literaria con Marcel Proust , con quien se trató asiduamente a partir de 1908 en Cabourg, (Caen ) donde la familia Daireaux alquilaba una casa de verano en la costa normanda (la «Ville Suzanne»). En realidad se conocieron en París cuando Proust frecuentaba Neuilly, donde residían los Daireaux. En el Grand Hotel Balbec de Caubourg, Proust habría compuesto su obra inicial Los placeres y los días (1896), que luego dedicó a Max con afecto.1 ​ El epistolario Proust-Daireaux, conteniendo más de veinte piezas (1909-1911), consta en la extensa obra de Philip Kolb .2 ​ En ese tiempo, Max da a conocer su novela Les premières amours d'un inutile (1910, Calmann-Levy), obra que merece una nota laudatoria de Proust. Poco después publicó Timon et Zozo (1912) y Le plaisir d'aimer (1913).

Durante la Primera Guerra Mundial Daireaux se incorporó a una Compañía Móvil de Ingenieros, y tiempo más tarde fue destinado a la Jefatura de la sección América Latina del Ministerio de Relaciones Exteriores. En 1917 compuso una pieza teatral alegórica, referida a las jóvenes naciones de América Latina con el título Nos soeurs latines, la que se representó exitosamente en el teatro de Trocadero por la Comedie Francaise.

La labor literaria de Daireaux y su reputación creció en la década de 1920, años en los que publicó Timon Le Magnifique (1921), La Toscanera (1923), El Gaucho (1925), L'envers d'un homme de bien (1925), Plaire (1928), La Clota (1928), L'amour en l'Amerique du sud (1929) y Le poète et l'infidele . Un amour impossible (1930). Su obra era de inspiración romántica, con frecuencia referida o ambientada en América del Sur y en formato de novela corta (nouvelle). Sus atributos de personalidad, distinguida presencia y fácil sociabilidad favorecieron su ingreso a los círculos literarios franceses, al PEN Club y a los grupos que frecuentaban los salones y reuniones literarias más tradicionales, de las cuales participaban entre otros los Daudet (Lucien y Leon), Georges Duhamel , Maurice Barrès , Francis de Miomandre , Paul Morand , Jules Supervielle, Valery Larbaud , Anne de Noailles ] y algunos latinoamericanos como Alfonso Reyes , Gonzalo Zaldumbide, Teresa de la Parra , Enrique Gómez Carrillo ] etc.

UN AMI DE PROUST Dans ce nouveau cercle d’aristocrates et d’intellectuels, Marcel Proust rencontre un Franco-Argentin, Max Daireaux. Fils d’Emil Daireaux et neveu de Geoffroy Daireaux, fondateur de la ville de Daireaux dans la province de Buenos Aires (voir l’article de Trait-d’Union sur la présentation du livre “Godofredo Daireaux : Aproximación a un retrato”) . Max Daireaux, homme de lettres né à Buenos Aires en 1883, écrit son œuvre en français et collabore avec La Nacion . Il rencontre le romancier d’ A la recherche du temps perdu  à Cabourg en 1908. Les deux hommes se lient d’amitié et entretiennent une correspondance chaleureuse. 

Parmi les Argentins qui ont connu le grand romancier français, Gabriel Iturri et Lucio V. Mansilla sont les plus nommés. Cependant, personne n’a prêté attention à Max Daireaux. Des biographes récents le mentionnent comme un ami de Proust et citent quelques-unes des treize lettres que Proust lui a écrites. D’après le prologue de son livre El gaucho , roman paru en feuilleton dans La Nacion (1924-1925), Max Daireaux (1883-1954) est né à Buenos Aires et a fait ses études primaires et secondaires en Argentine. Plus tard, en 1902, il intègre, à Paris, l’École supérieure des mines. Puis il décide d’être écrivain et publie, en français, de nombreux romans et plusieurs études sur les littératures française et latino-americaine. Son livre Villiers de l’Isle-Adam  (1936) reste encore apprécié aujourd’hui des spécialistes de l’auteur des Contes cruels. Selon l’écrivaine et essayiste argentine, Sylvia Molloy, le Panorama de la littérature hispano-américaine  (1930), de Max Daireaux, est la premiere étude écrite en français sur la littérature sud-américaine. Comme le souligne également Molloy, dans La diffusion de la littérature hispano-américaine au XXe siècle, Daireaux a traduit en français de nombreux et importants textes hispano-américains. 

En honneur à leur amitié, Marcel offrit à Max une curieuse dédicace de son premier livre, Les Plaisirs et les Jours , dans laquelle il fait la satire d’autres vacanciers. Ce texte se trouve dans la Correspondance de Marcel Proust , tome VIII. L’autre douzaine de lettres que Proust a écrites à Daireaux et l’une de ses dernières se retrouvent également dans l’ouvrage monumental -vingt et un volumes- qu’a édité Philip Kolb, l’un des plus grands spécialistes de l’œuvre proustienne.  

Dans ces différentes missives, on peut suivre l’amitié entre Proust et Daireaux, qui reposait surtout sur la vocation littéraire des deux hommes. Marcel Proust et Max Daireaux ont écrit des textes littéraires qu’ils ont essayé de publier dans des magazines ou des journaux. Marcel était l’aîné de treize ans et avait commencé cette activité bien plus tôt que Max, le cadet, qui toutefois semblerait, pendant un certain temps, avoir eu plus de succès. Lorsque Daireaux envoie à Proust son troisième roman, Le plaisir d’aimer , paru chez Calmann-Lévy en 1913, la même maison d’édition que celle de Les Plaisirs et les jours , Marcel lui pose quatre questions sur des expressions « scientifiques » qu’il voulait utiliser dans son travail. Les passages en question n’apparaîtront pas dans Du côté de chez Swann , dont Marcel corrigeait alors les premières épreuves, mais dans des volumes ultérieurs. Néanmoins, Proust était reconnaissant des réponses de Daireaux, et dans la lettre suivante l’appelera « Homo triplex » et louera la diversité de ses talents.

On retrouve dans les lettres de Proust à Daireaux la grande affection du « petit Marcel » pour Max. En octobre 1908, le vieil écrivain, déjà malade, invita le plus jeune à dîner dans sa chambre ; cette chambre qui est aujourd’hui, le cœur de l’exposition au musée Carnavalet, car elle offre une plongée immersive dans l’univers de Proust. Les éléments du mobilier et les objets qui la composent, liés à la vie intime de Marcel et de sa famille, permettent de représenter l’espace de création et rendre compte de la genèse de l’œuvre du grand écrivain. Sans doute Max ne passera-t-il jamais autant d’heures au chevet de Proust qu’une autre jeune connaissance cabourgeaise, Marcel Plantevignes, mais les lettres à Daireaux abondent en invitations. J’ajoute qu’à la fin de 1909, l’année où Marcel écrivit quatre lettres à Daireaux, il voulut que sa seule lettre de nouvel an soit pour Max.

Bien que dans sa correspondance précédente il n’ait jamais fait allusion au pays de naissance de son ami, Marcel souligne ici que Daireaux a lié l’Amérique latine et la France dans ses textes et loue le succès bien mérité de son cadet.

Cependant, en 1919, lorsque Marcel Proust reçoit le prix Goncourt pour son œuvre À l’ombre des jeunes filles en fleurs , Max ne publie rien à ce sujet. Le motif possible ne semblerait pas être une question de jalousie, mais plutôt le fait que Daireaux se serait reconnu dans certains détails des personnages du roman. Il ne  publiera rien non plus sur la mort de Proust en novembre 1922, pas même sur ses expériences à Cabourg avec le célèbre romancier. Ceci ne signifie pas l’oubli de l’ami qui a eu beaucoup plus de succès que lui-même. Dans son étude de Villiers de l’Isle-Adam , il a évoqué la dédicace que Proust lui avait écrite.

  • Caractéristiques spéciales: Édition originale
  • Reliure: Couverture souple, Relié
  • Langue: Français
  • Époque: 1900 à 1960
  • Sujet: Ethnologie

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