LENOTRE - La compagnie de Jehu - Episodes de la Réaction Lyonnaise - 1794-1800‎

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Verkäufer: fdamien ✉️ (7.768) 100%, Artikelstandort: Saulcy sur Meurthe, FR, Versand nach: WORLDWIDE, Artikelnummer: 285807807450 LENOTRE - La compagnie de Jehu - Episodes de la Réaction Lyonnaise - 1794-1800‎. LENOTRE - La compagnie de Jehu - Episodes de la Réaction Lyonnaise - 1794-1800‎ - 1931 ‎LENOTRE, Georges, Louis, Léon-Théodore Gosselin, dit Georges LENÔTRE (Château de Pépinville à RICHEMOND, Moselle 07/10/1857 - PARIS, 07/02/1935)‎ - ‎La compagnie de Jehu - Episodes de la Réaction Lyonnaise - 1794-1800‎ - ‎Paris Librairie Académique Perrin - 1931 - In-8 - broché - frontispice et illustrations Nb PP Ht - Bandeaux - 297 pages - Propre‎ Les compagnies de Jéhu (parfois appelées compagnies de Jésus) sont des groupes armés contre-révolutionnaires formés après la chute de Robespierre et participant, à Lyon et dans l'Ain, à la réaction royaliste connue sous le nom de « terreur blanche ». Évoqués dans les rapports officiels et dans certains procès, il est possible qu'ils n'aient été, au départ, qu'une fiction, confortée par la suite par les mémoires de Charles Nodier et le roman d'Alexandre Dumas. Apparition, réalité et dénomination Les Compagnies de Jéhu ou de Jésus sont évoquées dans la région de Lyon à partir de 1795, dans le cadre de la « terreur blanche » qui voit les populations opprimées, parfois dirigés par des réfugiés rentrés d'émigration, faire des expéditions punitives pour se libérer en pourchassant et en tuant les « Jacobins » compromis dans la Terreur. Leurs expéditions punitives auraient fait plusieurs centaines de victimes. Pourchassés et arrêtés, une troupe de Compagnons de Jésus fut jugé et condamnées en mars 1799 au Puy-en-Velay2. Ce nom n'aurait pas de véritable base historique, d'après Jacques Godechot, historien de la contre-révolution3. Selon Charles Nodier, ces groupes s'étaient désignés comme « compagnies de Jehu » (et non « de Jésus »), «le nom sacramentel de compagnons de Jéhu était bien approprié à leur cruelle mission, Jéhu étant, comme on sait, un roi d'Israël qui avait été sacré par Élisée sous la condition de punir les crimes de la maison d'Achab et de Jézabel, et de mettre à mort tous les prêtres de Baal4». « Quelqu’un évidemment ferré sur l’Ancien Testament les compara aux « compagnons de Jéhu », dont l’histoire se mêle à celle de Jézabel immortalisée par Racine. Jéhu, dixième roi d’Israël, molesté par ladite Jézabel, la fit jeter par la fenêtre et donna l’ordre d’exterminer tous ses enfants, tous ceux aussi de ses sujets qui avaient adoré Baal dont elle avait instauré le culte dans son royaume. L’assimilation avec les thermidoriens lyonnais était ingénieuse, mais trop savante ; le mot répété fut mal compris : Jéhu, bien oublié, ne rappelait rien au vulgaire qui entendit « Jésus » ; l’appellation de « Compagnie de Jésus » qui, comme l’a remarqué Louis Blanc, « ne s’explique pas », fut donc adoptée par corruption dans le langage populaire. - G. Lenotre, cité par André Castelot dans Présence de l’histoire, 1969, p. 205. » Contexte Après la chute de Robespierre, la « Terreur blanche » sévit, de janvier à juin 1795, dans toute la France, et en particulier dans le sud et le sud-est du pays. Elle cessera après l’envoi de nouveaux représentants en mission par la Convention, le remplacement des autorités municipales complices de ces actions, le désarmement de la garde nationale, le retour de l’armée et l’arrestation de certains des fauteurs de troubles. C'est dans ce cadre que, le 4 mai 1795, à Lyon, à la suite d'une émeute, 41 prisonniers sont massacrés à la prison dite « de Roanne », puis, dans la soirée, 43 autres à la prison des Recluses et, plus tard, 15 autres à Saint-Joseph. Les jours suivants, la violence se banalise, et les meurtres se poursuivent, avec moins d’ampleur, sous la forme de bastonnades mortelles, d’égorgements à domicile ou sur la voie publique, de noyades. Des journalistes encouragent quotidiennement au meurtre des « terroristes », qualifiés de « buveurs de sang », et une « liste générale » de 90 pages, imprimée à Lausanne, désignant les victimes, circule ouvertement. Dans le rapport (no 2170) qu'il présente, le 24 juin 1795, à la Convention nationale, au nom des comités de salut public et de sûreté générale, Marie-Joseph Chénier, retour de Lyon, impute ces massacres à un mouvement organisé qu'il nomme « compagnie de Jésus ». « Une association de scélérats ligués pour le meurtre, s'est organisée à Lyon. Cette Compagnie, mêlant les idées religieuses aux mots de justice et d'humanité, se fait appeler compagnie de Jésus. C'est elle qui rappelle à grands cris les émigrés, qui égorge les prisonniers, etc.5 » Chénier fait alors adopter à la Convention un projet de décret, dont l'article 1er évoque « les assassinats commis dans plusieurs parties de la République, par les « compagnies de Jésus », les « compagnies du Soleil », et autres associations royalistes ». À la fin du mois de mai, les victimes commençant à manquer, la compagnie de Jésus disparaît des chroniques, sauf à être évoquée ponctuellement à l'occasion d'affaires de droit commun. Interprétations D'après G. Lenotre6, les compagnons de Jéhu n'auraient en fait jamais existé. Les massacres et les vols qui leur sont imputés confondent toute une série d'incidents indépendants les uns des autres, à commencer par la chasse aux « mathevons »7,8, ces ultra-Jacobins responsables, jusqu'à la chute de Robespierre, d'une répression terrible contre les Lyonnais, coupables de s'être rebellés contre la Convention et d'avoir soutenu un siège de plusieurs mois contre les troupes de la Révolution. Entre le 9 octobre 1793, date de la reddition de la ville, et le 3 mai 1794, date de la dissolution des commissions révolutionnaires, on estime que près de 2 000 exécutions eurent lieu à Lyon. Après cette terrible répression, la réaction thermidorienne est l'occasion de violentes vengeances et le nom de compagnons de Jéhu aurait été donné, a posteriori, aux contre-révolutionnaires qui exécutèrent sommairement, souvent pour les jeter à la Saône, nombre de mathevons. Après la réaction thermidorienne, les compagnons de Jéhu furent recherchés activement et de nombreux assassins thermidoriens furent arrêtés, mais il se trouva qu'ils étaient complètement indépendants les uns des autres. Aucune forme de mouvement coordonné ne les reliait entre eux. Le tribunal, pourtant surveillé par Legris, envoyé spécial du ministre de la Justice, conclut qu'il n'existait ni liste de membres de la conspiration ni registres de la prétendue compagnie de Jésus. Dans l'ambiance conspirationniste de l'époque, les théories du complot font en effet florès pour attribuer les meurtres, la violence et les attaques de diligences à une myriade de sociétés secrètes. Alors que la plupart de ces désordres relèvent du simple banditisme, selon la région, on évoque ainsi la société des Amis, la compagnie des Ribotteurs, celle de l'Étoile, du Cordon, des Fils aînés de Louis XVIII, la bande Noire, la bande Blanche, la bande du Sac, celle du Poignard, etc. Toutes sont supposées être extrêmement organisées, dirigées de l'étranger, entièrement au service du Roi, protégées par des complices occupant des postes de responsabilité et soumises à de redoutables rituels d'affiliation. Il semble que, pour ce qui concerne les compagnons de Jéhu, ce soit Charles Nodier qui, dans ses Souvenirs9, ait forgé la légende à partir de quelques incidents réels, distordus et assemblés dans un esprit romantique6. Alexandre Dumas et les compagnons de Jéhu Alexandre Dumas, qui avait entendu parler des compagnons de Jéhu, romança l’histoire de ces contre-révolutionnaires dans son roman homonyme, publié en 1857 et dont le héros est Charles de Sainte-Hermine. Il en aurait pris l'idée dans les mémoires de Charles Nodier, qui avait lui-même regroupé, sous une même dénomination, des épisodes étrangers les uns aux autres, en les enjolivant au passage6 G. Lenotre3, nom de plume de Louis Léon Théodore Gosselin, né le 7 octobre 1855 au château de Pépinville à Richemont près de Thionville et mort le 7 février 1935 à Paris, est un historien et auteur dramatique français. Biographie Louis Léon Théodore Gosselin est supposé être l'arrière-petit-neveu du jardinier du roi André Le Nôtre4. Il est né au château de Pépinville situé sur la commune de Richemont, château que son grand-père maternel Nicolas Bertrand a acheté en 1850. Il est le fils de Charles Gosselin (1824-1904), directeur des douanes de Moselle, et de Françoise Pauline Léonie Bertrand5. Il effectue sa scolarité chez les pères jésuites à Metz, où il a pour condisciple le futur maréchal Foch. Le Traité de Francfort qui met fin à la guerre de 1870, donnant Metz et une grande partie de la Lorraine au nouvel Empire allemand, il suit sa famille qui s'installe à Paris. Il entre à 19 ans comme employé au bureau des statistiques des douanes du ministère des finances mais s'échappe souvent de son poste6 pour aller se documenter et écrire, avec un humour souvent noir, des chroniques d’histoire d'abord dans Le Figaro en 1880 puis collabore comme journaliste dans la Revue des deux Mondes, Le Monde illustré à partir de 1882, et Le Temps à partir de 18987. Il découvre les ruines des Tuileries brûlées par la Commune. Spécialiste de l’histoire de la Révolution française en utilisant des sources primaires, il publie un nombre important d’ouvrages sur le sujet, dans un style narratif et anecdotique propre à la petite histoire, qui a influencé des historiens tels qu'André Castelot et Alain Decaux : il est à ce titre considéré dès son vivant comme le « pape de la petite histoire »8. Il écrit comme Dumas, mais travaille avec la minutie de Renan9. Sa chasse aux documents et sa boulimie d'archives le fait accumuler une documentation impressionnante dans son appartement du 40 de la rue Vaneau, à l'angle de la rue de Babylone qu'il occupe près de cinquante-sept ans10. Il ne parle jamais d'un lieu, sans s'y être promené, fouille maisons, meubles, familles. Il a dessiné des centaines de maisons du vieux Paris, la chambre de Danton, de Camille Desmoulins... Sa curiosité le pousse à l'exactitude. Il s'est attaché aux personnages secondaires ou inconnus, qui disent mieux l'air du temps. C'était le meilleur connaisseur des Archives nationales. Parfois il n'était alerté que par une signature, comme celle de cet abbé qui passait pour mort et qui signait ses lettres « Feu de Goy ». Lenotre suit sa trace et le distingue au milieu des cent quatorze prêtres entassés dans la crypte de l'église des Carmes, à l'été 1792. Cet abbé, laissé pour mort est emmené au cimetière de Vaugirard, « mais le charretier s'aperçoit qu'il bouge encore et le confie à l'inspecteur du cimetière. L'abbé est sauvé. » Lenotre disait aussi se méfier des documents officiels et préférer le document « accessoire »… qui présente l'avantage de montrer les faits sous un aspect encore inaperçu11. Il écrit également des pièces de théâtre comme Les Trois Glorieuses, Varennes, Les Grognards. L'Institut de France sur proposition de l'Académie française lui décerne le prix Jean-Jacques-Berger en 1902 pour ses études sur le Paris du xviiie siècle et de la Révolution. Après avoir tenté une première fois d’entrer à l’Académie française en 1909, au fauteuil de Victorien Sardou, il est élu en 1932 au fauteuil de René Bazin par 20 voix, mais meurt le 7 février 1935 d'une crise cardiaque, sans y avoir prononcé son discours de réception en hommage à René Bazin12. Après avoir tant écrit sur les guillotinés de la Terreur, c'est auprès d'une partie de ces suppliciés qu'il repose désormais. Il est enterré au cimetière historique de Picpus, dont il a rédigé l'histoire : Le Jardin de Picpus10. On peut y lire l'épitaphe suivante, extraite de l'Évangile de saint Jean : Qui credit in me, etiam si mortuus fuerit, vivet (Celui qui croit en moi, même s'il est mort, vivra). Émile Gabory lui rend hommage en ces termes : « Il avait le culte du parfait détail et la foi dans une impalpable survivance du passé. » Publications 1881 : Histoire anecdotique des salons de peinture depuis 1673, Dentu, Paris, 1881. Seul ouvrage publié sous le nom de Théodore Gosselin. L’Astre rouge : Souvenir d’une excursion en Danemark, Paris, Firmin Didot, 1893 Télécharger cette édition au format ePub Télécharger cette édition au format PDF (Wikisource) 1893 : La Guillotine sous la Terreur. 1894 : Le Vrai Chevalier de Maison-Rouge, A.D.J. Gonzze de Rougeville (1761-1814). 1895 : Le Marquis de La Rouërie, conspirateur. 1895 : La Chouannerie normande au temps de l'Empire, Tournebut : 1804-1809 (préface de Victorien Sardou de l'Académie française) ». 1895 : Paris révolutionnaire. - Prix Bordin, 1895 1896 : Les Quartiers de Paris pendant la Révolution. 1896 : Le Baron de Batz : 1792-1795 : d'après des documents inédits : un conspirateur royaliste pendant la Terreur. Perrin, Paris, 1896. XIII + 391 p. ; réédition en 1973, sous le titre « Le Baron de Batz : l'homme qui a failli sauver Louis XVI. Perrin, Paris, collection « Présence de l'histoire », 1973. 340 + 16 p. 1897 : La Captivité et la mort de Marie-Antoinette : les Feuillants, le Temple, la Conciergerie, d'après des relations de témoins oculaires et des documents inédits. Perrin, Paris, 1897. XXI + 430 p. 1898 : Colinette : pièce en 4 actes (en collaboration avec Gabriel Martin). P.-V. Stock, Paris, 1898. 133 p. Pièce jouée pour la première fois au théâtre de l'Odéon le 1er octobre 1898. 1899 : Un Agent des princes pendant la Révolution : le marquis de La Rouërie et la conjuration bretonne (1790-1793). Perrin, Paris, 1899. XVIII + 418 p. (réédition sous le titre Le Marquis de La Rouërie et la conjuration bretonne (1790-1793), Perrin, Paris,1901 et 1927), Armor-éditeur, Rennes, 1976. - Prix Thérouanne, 1899 1900-1929 : Vieilles maisons, vieux papiers, chroniques du Temps, 6 vol. - Prix Broquette-Gonin, 1924 1901 : La Chouannerie normande au temps de l'Empire : Tournebut, 1804-1809 : d'après des documents inédits (avec une préface de Victorien Sardou). Perrin, Paris, 1901. XXXVI + 378 p. 1902 : Les Trois Glorieuses. 1902 : En musique. 1904 : Varennes (en collaboration avec Henri Lavedan). 1905 : Le Drame de Varennes. 1907 : Les Massacres de Septembre. 1907 : Les Fils de Philippe-Égalité pendant la Terreur. 1908 : Le Tribunal révolutionnaire. 1908 : La Fille de Louis XVI : Marie-Thérèse-Charlotte de France, Duchesse d'Angoulême 1908 : Voyages et passagers de jadis. 1910 : Légendes de Noël, contes historiques. 1912 : Les Noyades de Nantes. 1912 : Bleus, Blancs et Rouges. 1912 : Mémoires et souvenirs sur la Révolution et l'Empire. 1916 : Prussiens d'hier et de toujours, Perrin, Paris. 1918 : Gens de la vieille France, Perrin, Paris. 1920 : Le Roi Louis XVII et l’énigme du Temple. 1921 : Les Grognards (en collaboration avec Henri Cain). 1923 : L'Affaire Perlet, drames policiers, Paris, Perrin. 1924 : Monsieur de Charette, Librairie Hachette, collection "Figures du passé", 296 pages, avec un portrait de Charette en frontispice. 1924 : Thomas Martin le visionnaire (de Gallardon). La Mirlitantouille : Épisodes de la chouannerie bretonne, Paris, Éditions Perrin, 1925 Télécharger cette édition au format ePub Télécharger cette édition au format PDF (Wikisource) Robespierre et la « Mère de Dieu », Paris, Éditions Perrin, 1926 Télécharger cette édition au format ePub Télécharger cette édition au format PDF (Wikisource). Babet l’empoisonneuse… ou l’empoisonnée, Paris, Éditions Perrin, 1927 Télécharger cette édition au format ePub Télécharger cette édition au format PDF (Wikisource) 1927 : La Proscription des Girondins. 1928 : Les Pèlerinages de Paris révolutionnaire. 1928 : Le Jardin de Picpus. Georges Cadoudal, Paris, Éditions Bernard Grasset, 1929 Télécharger cette édition au format ePub Télécharger cette édition au format PDF (Wikisource) ─ Couverture et page de titre illustrées par Gérard Cochet. 1930 : La Compagnie de Jéhu : Épisodes de la réaction lyonnaise, 1794-1800, Paris, Librairie académique Perrin, 1931. 297 p. Réédition en 1961 : Perrin, Paris, 1961. 299 p. 1930 : Le Château de Rambouillet : six siècles d'histoire, Calmann-Lévy, collection « Châteaux : décors de l'histoire », Paris, 1930, 256 p. Réédition : Denoël, Paris, 1984, 215 p. (ISBN 2-207-23023-6). 1932 : Les Derniers terroristes , coll. « Histoires de France », Paris : chez Firmin-Didot, 219 p. & 8 planches hors-texte, précédemment paru en feuilleton dans Revue des deux Mondes, en 1930 1932 : Napoléon, coll. « La Petite Histoire » n° 1, Paris, Grasset. 1932 : De la prison à l'échafaud. Les Tuileries : Fastes et maléfices d’un palais disparu, Paris, Firmin-Didot, 1933 Télécharger cette édition au format ePub Télécharger cette édition au format PDF (Wikisource)13. 1933 : Histoires étranges qui sont arrivées, éditions Mame. 1933 : Paris et ses fantômes, Grasset, 318 p., rééd. 2014 (ISBN 9782246798385). 1934 : La Révolution par ceux qui l'ont vue. 1934 : Versailles au temps des rois, Paris, Grasset ; trois nouvelles éditions depuis 2006. 1935 : Dossiers de police, Grasset. 1936 : La Vie à Paris pendant la Révolution, posthume. Distinctions Officier de la Légion d'honneur Officier de la Légion d'honneur (8 janvier 1921)14 Sources G. Lenotre, Thérèse Lenotre, Notes et souvenirs, Paris, éd. Calmann-Lévy, 1941. Des papiers personnels de G. Lenotre sont conservés aux Archives nationales, site de Pierrefitte-sur-Seine, sous la cote 641AP : Inventaire du fonds [archive].

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