Blu-Ray "La Comtesse Aux Pieds Nus", De Joseph L. Mankiewicz, Avec Ava Gardner

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Verkäufer: 1denisclaire ✉️ (199) 100%, Artikelstandort: Grasse, FR, Versand nach: EUROPEAN_UNION, CH, GB, Artikelnummer: 326090854180 BLU-RAY "LA COMTESSE AUX PIEDS NUS", DE JOSEPH L. MANKIEWICZ, AVEC AVA GARDNER. BLU-RAY "LA COMTESSE AUX PIEDS NUS", DE JOSEPH L. MANKIEWICZ. AVEC HUMPHREY BOGART, AVA GARDNER, EDMOND O'BRIEN, MARIUS GORING, VALENTINA CORTESE, ROSSANO BRAZZI, TORLATO-FAVRINI, ELIZABETH SELLARS, WARREN STEVENS… CODE-BARRES N° : 3545020079621 COMME NEUF, SANS LE BLISTER. ENVOI TRÈS SOIGNÉ. Réalisateur : JOSEPH L. MANKIEWICZ  Éditeur : Carlotta Films  Parution : 22/11/2022  Nombre de BLU-RAY : 1  Classification : Drame    Synopsis : C'est sous la pluie, dans un cimetière italien, que le réalisateur hollywoodien Harry Dawes assiste à l'enterrement de la comtesse Torlato-Favrini. I l se remémore sa première rencontre avec la défunte.  Elle n'était pas encore comtesse, ni star de cinéma, juste Maria Vargas, danseuse ensorcelante et sauvage d'un cabaret madrilène…   Bonus :  - Master HD - Boîtier avec fourreau  - "Conte défait" : entretien avec Samuel Blumenfeld (HD, 29’)  - "Ciné-regards : Joseph L. Mankiewicz" de Jean Douchet (INA 1981, 53’)  - Bande-annonce originale (HD)    Œuvre Titre VO The Barefoot Contessa  Nationalité de l’œuvre Italie, États-Unis  Année de sortie en salles 1954  Public Tous  Couleur Couleur  Durée de la vidéo 130  Support   Zone Zone B  Format d'image 1.85  Format vidéo 16/9  Langues Audio Dolby Digital Anglais 1.0, Français 1.0, Anglais 5.1  Langues Audio DTS Français, Anglais  Sous-titres Français CRITIQUE DU FILM "LA COMTESSE AUX PIEDS NUS", DE JOSEPH L. MANKIEWICZ L'histoire   Harry Dawes, réalisateur américain sur le déclin, se rend en Espagne accompagné d’un producteur, de son associé et d’une starlette, tous trois représentant une certaine image de la vulgarité hollywoodienne.  Leur but : trouver la nouvelle future star du cinéma américain qu’ils pensent trouver en Maria Vargas - une danseuse flamenco dans un cabaret miteux de Madrid.  Tout d’abord peu convaincue, Maria accepte finalement, séduite par l’intelligence et la finesse de Harry Dawes dont elle devient rapidement l’amie.  Après trois films, Maria D’Amata (son pseudonyme) est une star planétaire mais elle se lasse vite de ce monde qui la dépasse et l’ennuie.  Plus que la célébrité, c’est bien l’amour et le bonheur que cherche cette Cendrillon moderne...  Analyse et critique   Pourquoi... ?  Pourquoi Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon, monuments d’érudition et d’intelligence cinéphile appliquée au cinéma américain, eux qui ont su si souvent mettre en mots un certain amour fou pour le cinéma américain, eux qui semblent capable de défendre jusqu’à la mort des cinéastes aimés sur des dizaines de pages - pourquoi donc ces deux papes de la critique française ne consacrent-ils dans leur dictionnaire qu’un riquiqui feuillet et demi au grand Joseph L. Mankiewicz, poussant même leur logique au point de ne citer "La Comtesse aux pieds nus" qu’une fois, posée là, sans considération aucune, entre une évocation d’"All About Eve" et du "Limier"... ?  Pas la peine de retourner l’objet dans tous les sens, de se pincer pour y croire ou de s’enquérir de l’éventuelle disparition de douze pages consacrées à Mankiewicz sur les presses de l’éditeur : les faits sont là. Tavernier et Coursodon font l’impasse sur cet immense cinéaste, et sur ce qui restera l'un des films les plus brillants d’une filmographie exceptionnelle.   Tout de même... Tatave... Ce n’est pas d’un vulgaire film sorti à la sauvette en 1954 dont nous parlons ici, mais bien de "La Comtesse aux pieds nus".  Et si nous n’avons guère pour habitude de faire courbette devant quelque forme d’aristocratie, comment ne pas faire exception pour cette Contessa, si belle et si fragile et qui mériterait, en plus d’une révérence, une considération toute autre.  Car avec ce treizième film, le réalisateur de "Cléopâtre" semble atteindre une certaine forme de perfection filmique, dont il nous avait déjà donné un aperçu plus que probant dans "All About Eve", "The Ghost and Mrs. Muir" ou bien "Chaînes conjugales".  "La Comtesse aux pieds nus", ou une certaine idée de la noblesse cinématographique.   Le casting déjà... Humphrey Bogart, au sommet de sa carrière et dont la simple apparition en imperméable sous la pluie le confirme au panthéon des mythes hollywoodiens.  Il est ici un réalisateur désabusé (en qui l’on pourra parfois reconnaître le scénariste et réalisateur du film, Mankiewicz lui-même...) et terriblement humain, dont l’intelligence et la douceur font tache dans un milieu du cinéma dépeint comme une immense fosse aux lions.  Etrange héros d’ailleurs que ce Harry Dawes, ni premier rôle (il disparaît parfois plus de vingt minutes au milieu du film) ni star omniprésente, il est au service du film.  Au diapason de cet étrange personnage, Bogart livre ici l'une de ses compostions les plus émouvantes, délaissant la classe innée de certains de ses héros précédents pour nous offrir le portrait tout en nuances d’un homme fatigué et usé par les drames de la vie.   "La Comtesse aux pieds nus", c’est aussi une formidable galerie de seconds rôles où chaque personnage semble avoir sa chance, malgré la bonne dose de cynisme du film...  Ainsi, bien que ridiculisé dès les premières minutes, Oscar Muldoon (génial Edmond O’Brien, déjà croisé dans The Killers, Jules César du même Mankiewicz, L’Homme qui tua Liberty Valance, La Horde sauvage ou encore Le Jour le plus long) voit sa psychologie étoffée au fur et à mesure du film, et ce malgré un scénario qui au premier abord ne lui offre pas la part belle.  Tout comme le comte Vincenzo Torlato Favrini, dont la vie part en lambeaux, symbole d’une monarchie en fin de course, mais qui n’est en rien le pantin de l’histoire, lui qui comme sa sœur (personnage tragique et beau, brossé en deux répliques et une scène), reste poignant et humain de bout en bout.  A l’image aussi de ce prétendant au trône, membre d’une bien triste Jet Set et roi de pacotille, à qui Mankiewicz offre pourtant les plus belles et plus émouvantes réparties du film : « Ma chère Lulu, il y a comtes et comtes, comme il y a rois et rois.  Parmi les comtes, Torlato Favrini est un roi.  Tout comme moi, parmi les rois, je suis un clown. »   On a souvent reproché à Mankiewicz une certaine amertume, quelques excès de cynisme et de misanthropie qui viendraient gâcher un indéniable talent de conteur et de cinéaste - un film comme "The Honey Pot" (Guêpier pour trois abeilles) témoigne en effet d’un certaine acrimonie.  Mais ce serait oublier un peu vite toute la tendresse que celui-ci peut accorder aux personnages les plus humbles de son film (seconds rôles, troisièmes rôles, figurants - les Gitans chez qui se rend Maria Vargas par exemple...), tout comme aux plus exposés : on peut ainsi avancer sans crainte que "La Comtesse aux pieds nus" fait partie des films les plus humains du grand Bogart, grâce notamment à des dialogues brillants, incisifs ou tendres qui dessinent un personnage fatigué mais vivant.  Tout comme il pourrait bien être le plus bel écrin jamais offert à Ava Gardner - en compagnie de "La Nuit de l’iguane" peut-être...  Resplendissante, éblouissante, la star est aussi crédible en Cendrillon madrilène qu’en nouvelle star hollywoodienne. Personnage complexe, aux multiples fêlures, Maria Vargas semble ne pouvoir être jouée que par Ava Gardner dont la beauté et le talent n’ont jamais été aussi éclatants.   Servie par une formidable direction artistique, Gardner, en robe d’apparat et bijoux somptueux, traverse les immenses plateaux de Cineccita éclairés avec amour par le grand Jack Cardiff, remarquable directeur de la photographie connu pour son travail avec le duo Powell / Pressburger : "A Matter of Life and Death", "Le Narcisse noir", "Les Chaussons rouges" - dont la superbe photographie est très proche de "La Comtesse aux pieds nus" - mais aussi "Les Amants du Capricorne", "Pandora", "African Queen" ou "Les Vikings").  C’est ici un véritable feu d’artifice de couleurs et de teintes, où un simple mariage devient une véritable féerie visuelle.  Joyau pour les yeux, La Comtesse aux pieds nus est aussi une superbe mécanique cinématographique, parfaitement huilée et réglée au millimètre, qui voit Mankiewicz jouer avec le temps, se permettant quelques effets de montage déjà entraperçus chez Kubrick (L’Ultime razzia) puis maintes fois repris, chez Tarantino ou Gus Van Sant dernièrement : une même scène vue sous différents angles, révélant divers points de vue sur un même événement.  Brillant, le procédé est réputé casse-gueule mais il n’a ici rien d’un gadget, et la dispute entre Maria et Alberto Bravano reste l'un des moments les plus poignants et passionnants du film, tant ce véritable tournant scénaristique est éclairé d’un jour nouveau lors de la seconde vision.   Cinéaste joueur (cf. Le Limier), Mankiewicz pousse l’astuce jusqu’à multiplier les retours en arrière puis en avant, engageant le récit dans de sinueux détours : on compte ainsi pas moins de huit flash-back, certains étant eux-mêmes composés de flash-back dans le flash-back, le tout étant raconté par quatre narrateurs différents : Harry, Oscar, Torlato Favrini et Maria !  Loin d’être novateur (puisque déjà utilisé par exemple dans "Eve" en 1950 du même Mankiewicz ou dans "Les Ensorcelés" de Minnelli en 1952), le procédé n’en reste pas moins formidable de brio et d’intelligence, offrant au film et à ses spectateurs une palette d’émotions ample et généreuse, du comique au tragique pur.   Car sous ses airs de portrait acide des mondes du cinéma, de la Jet Set et de l’aristocratie, "La Comtesse aux pieds nus" prend des accents "sirkiens" dans un final du plus beau mélo.  Sueur, sang et larmes : tous les ingrédients sont réunis pour élever un mausolée digne du destin de Maria Vargas, superbe héroïne d’un des films les plus justes et les plus bouleversants que Hollywood ait consacré au cinéma.  Et une belle idée de cadeau numérique pour le Noël de Bertrand Tavernier... Test blu-ray Image    Le transfert HD est identique à celui sorti en Blu-ray en 2018 en Angleterre (chez Eureka!), qui arrivait deux ans après celui de Twilight Time aux Etats-Unis.  Il s'agit d'un master à la patine inégale et ancienne, sans doute issu de la copie restaurée en 2002 par l'UCLA Film & Archive, et malheureusement les plus récents travaux vraisemblablement effectués à ce jour.   Tourné avec le procédé Technicolor, "La Comtesse aux pieds nus" a été filmé à partir de trois négatifs (rouge/vert/bleu) que l'on devait ensuite superposer dans une tireuse afin d'obtenir des copies de référence.  La difficulté était de réduire au maximum les décalages des photogrammes au risque de créer des trait dédoublés (donc flous) et de laisser apparaître des contours colorés.  Des désagréments plus facilement évitables, pour peu qu'on y mette le prix (cf. le Blu-ray de L'Homme tranquille), grâce aux technologies numériques qui permettent aux images des trois négatifs d'être parfaitement superposées.  Le procédé est plus compliqué avec une tireuse où l'alignement mécanique se fait avec beaucoup moins de précision : c'est cette méthode plus traditionnelle qui a été utilisée pour les travaux, anciens, de "La Comtesse aux pieds nus". La source photochimique montre quelques petites instabilités de luminosité et de colorimétrie qui n'ont pas été corrigées numériquement.  La copie est assez propre, il subsiste quelques salissures superficielles qui n'ont pas été gommées, comme cette petite tache bleue qui apparaît pendant quelques dizaines de secondes en bord droit du cadre.   Le film a été scanné en "simple" HD, un transfert qui pourrait avoir été effectué il y a plus d'une dizaine d'années. La gestion du grain reste correcte, non filtrée, et bien gérée par l'encodage du disque.  Les contrastes sont bien équilibrés, avec des noirs parfois denses.  La colorimétrie fleure bon le traitement des anciens masters américains, avec sa dérive magenta assez nette, et pas uniquement sur les seules carnations, couplée à une saturation parfois peu modérée qui accentue encore davantage l'effet.  Notez que le master américain sorti chez Twilight Time en 2017 tempérait légèrement cette dominante magenta par une tonalité légèrement plus orangée.  La comparaison avec l'ancien DVD français, pour le coup trop peu coloré, et à considérer avec modération à cause de son ancienneté, montre un écart parfois saisissant.  Certaines scènes s'en sortent régulièrement bien, comme dans les plans du cabaret (au début du film) qui transposent bien l'ambiance chaleureuse et intimiste des lieux.   Notez que le film est présenté en 1.85, un format panoramique qui tranche avec le 1.37 carré qui était celui utilisé jusqu'alors en vidéo. Il est important de préciser que "La Comtesse aux pieds nus" a été produit en pleine période de transition pour les salles de cinéma qui commençaient à s'équiper pour les nouveaux formats censés concurrencer la télévision, comme le Cinémascope ou le VistaVision.  Mais toutes les salles ne possédaient pas encore forcément le matériel adéquat, le film pouvait donc être projeté en "open matte" (1.37) ou dans un ratio plus panoramique en masquant le haut et le bas de l'image.  C'est cette version "mattée" qui est désormais présentée en Blu-ray.  Sur le site dvdbeaver, le spécialiste en restauration Robert Furmanek indique que les publications de l'époque indiquaient un format de projection de 1.75, ce qui semble valider les caractéristiques de ce transfert.  Concrètement, si les deux formats se valent au visionnage, on remarquera tout de même quelques cadrages parfois un peu serrés sur les visages, certains étant légèrement coupés sur la hauteur...   Son    "La Comtesse aux pieds" nus est proposé en version originale dans un mono plutôt correct.  A l'exception de passages parfois un peu brouillons et légèrement saturés (durant le générique), on peut noter une belle présence des voix lorsqu'elles sont captées en prise de son direct, mais une qualité un peu moins probante en post-synchronisation (les voix off).  Le champ sonore est bien perceptible, les ambiances sont conservées. Comme c'est le cas de ses confrères étrangers, Carlotta propose également une version originale remixée en 5.1.  Une option dont l'origine reste curieuse, peut-être adaptée du mixage en Perspecta, procédé diffusé dans certaines grandes villes américaines à l'époque.  Ce remix 5.1 semble un peu plus subtil en apparence tout en restant quand même un brin artificiel.  La stéréophonie reste mesurée, surtout dans les voies arrière, le rendu bénéficiant surtout à la musique qui se détache un peu mieux de l'ensemble et apparaît moins saturée.  Le souffle n'en est pas forcément plus discret.  La version française est de facture correcte (d'époque) malgré une dynamique très faible.  On relève quelques sifflantes, des voix claires, peu de souffle, mais des ambiances presque totalement neutralisées. Suppléments    Conte défait (29 min - HD)  Une analyse de "La Comtesse aux pieds nus" par l'éminent journaliste et critique de cinéma Samuel Blumenfeld.  De manière simple et toujours claire, il explique la "dimension dépressive" du film et comment le scénario traduit le mal-être de son auteur Joseph L. Mankiewicz, cinéaste en crise dans un Hollywood maudit dont il souhaite prendre son indépendance et sur lequel il porte un regard à la fois sévère et mélancolique.  Samuel Blumenfeld rapproche le film de son pendant théâtral "All About Eve" et précise pourquoi il est sans doute moins réussi, Mankiewicz n'ayant pu exprimer tout ce qu'il souhaitait dans une histoire sans doute trop en avance sur son temps.  Il évoque d'autres aspects "très gonflés" pour l'époque, comme cette tragédie d'une héroïne à la sexualité manifeste mais jamais épanouie, ou l'aspect "anti-Cendrillon" avec ce prince charmant "pas si charmant" qui cache son homosexualité aux côtés d'une "épouse de façade".  Il détaille ce qu'a apporté Ava Gardner à son personnage de "vraie fausse star", parle de Harry Dawes, "autoportrait" de Mankiewicz "libre, réussi et convaincant", et raconte comment le réalisateur réussit à dépeindre l'aristocratie italienne qu'il ne connaissait pas par l'entremise de son "double rêvé" Michal Waszynski, obscur cinéaste réinventé en prince polonais dont Blumenfeld a raconté l'étonnant parcours dans son roman L'Homme qui voulait être un prince, en 2006. Foisonnant et passionnant.    Ciné-regards : Joseph L. Mankiewicz (52 min - SD upscalé HD - VOSTF)   Dans ce document rare, réalisé par Jean Douchet et diffusé sur FR3 en octobre 1981, le réalisateur Joseph L. Mankiewicz, de passage à Avignon, est interrogé sur divers aspects de son métier.  Il revient sur "la définition neuve de l'écriture" née avec le cinéma parlant, l'engagement de grands écrivains littéraires à Hollywood, l'importance de "la musique du discours" dans la conception des dialogues.  Assumant une conception classique du cinéma, il ne cache pas son désaccord avec certaines tendances de l'époque, préférant une caméra invisible qui ne s'interpose pas entre le spectateur et les personnages (il considère l'inverse comme un "exercice pour séduire la critique").  Il revient sur certains acteurs qu'il a dirigés comme Cary Grant qui, selon lui, resta prisonnier des exigences du public, ou Elizabeth Taylor qui n'a plus fait de progrès dans son jeu après le traumatisme de "Cléopâtre".  Il raconte certains combats qu'il dut mener en coulisses, contre Darryl F. Zanuck pour imposer son casting de "Eve" ou face à Katharine Hepburn qui cherchait à prendre le contrôle de "Soudain l'été dernier".  Réfutant les techniques de l'Actor's Studio, Joseph Mankiewicz explique que l'acteur idéal doit avoir des affinités naturelles avec son rôle, et raconte les fièvres patriotiques dont il fut victime au moment du maccarthysme dans les années 50.  Dans la deuxième moitié du documentaire, il raconte en détail la tentative d'éviction de son poste de président de la Guilde des Réalisateurs, menée par Cecil B. DeMille, et comment il fut soutenu par John Ford lors d'une intervention devenue célèbre.  Un document d'époque suggéré par le spécialiste des archives Jérôme Wybon, et présenté "dans son jus" avec sous-titres incrustés sur la pellicule.   Bande-annonce (1 min 49 s - HD - VOSTF)
  • Condition: Neuwertig
  • Condition: COMME NEUF, SANS LE BLISTER.
  • Objet modifié: Non
  • Pays de fabrication: France
  • Édition: Édition standard
  • Zone: Blu-ray zone B
  • Année de sortie: 1954
  • Unité de mesure: Unité
  • Numéro de pièce fabricant: 3545020079621
  • Année d'édition DVD: 2022
  • Titre de Film/Série: LA COMTESSE AUX PIEDS NUS
  • Marque: Carlotta Films
  • Origine: Cinéma américain
  • Format: Blu-ray
  • Quantité unitaire: 1
  • Protagoniste: HUMPHREY BOGART, AVA GARDNE
  • Acteur/actrice: AVA GARDNER
  • Classification: Tous publics
  • Produit étranger: Non
  • Genre: Drame
  • Réalisateur: JOSEPH L. MANKIEWICZ
  • EAN: 3545020079621

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